Patron de couture de chapeau, notre sélection de choix

mercredi 18 novembre 2009



Je l'adore avec sa jolie bouille toute ronde... Ce patron de couture pour chapeau est très sympa.
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Une brève histoire du Borsalino

dimanche 15 novembre 2009




Borsalino, c’est d’abord un nom de famille et l’histoire d’une dynastie de chapeliers. Tout commence en 1857 lorsque Giuseppe Borsalino ouvre un modeste atelier après avoir suivi une formation de chapelier en Italie et à Paris. 

Le développement est rapide, l’entreprise s’installe à Alessandria (sud de Turin) et prend progressivement une dimension internationale. 





Le chapeau Borsalino acquiert une réputation : beau, élégant et résistant. (« Un Borsalino dure toute une vie ! »). A la mort de Giuseppe en 1900, la production annuelle atteint 750 000 chapeaux avec 60 % pour l’exportation. Teresio Borsalino, fils aîné de Giuseppe, développe l’entreprise, en particulier sur le plan international. Dans les années 1920-1930, le nom de Borsalino acquiert une grande notoriété dans le monde entier. Parmi les clients célèbres de cette grande maison, il faut citer Franck Sinatra et Robert Redford. En 1939, Térésio Usuelli, petit neveu, prend la direction de l’usine avec son cousin. Après la période difficile de la guerre, l’entreprise est prospère jusque dans les années 1960. Le déclin s’amorce alors et la société est rachetée en 1992 par la famille Gallo-Monticone, industriels d’Asti, actuel propriétaire.

Borsalino, c’est aussi un savoir-faire ancestral perpétué. Installée dans la banlieue nord de la ville d’Alessandria, la nouvelle usine, construite en 1986, abrite des machines centenaires. A partir du poil de lapin, les étapes de fabrication sont identiques à celles pratiquées autrefois dans les chapelleries de Chazelles-sur-Lyon et présentées à l’Atelier-Musée : soufflage, bastissage, semoussage, foulage, teinture, finitions, appropriage, bichonnage, garnissage. Le travail reste traditionnel à partir de moules en bois. 


Borsalino souhaite ainsi inscrire durablement ses feutres parmi les accessoires de luxe. Selon le directeur commercial, le défi actuel est de rendre le port du chapeau toujours plus à la mode en ciblant le public féminin et jeune. Le groupe consacre alors près de 3 % de son chiffre d’affaires à la communication, à travers la publicité dans les magazines de mode mais aussi en entretenant de bons rapports avec le monde du cinéma et de la télévision. Dernièrement, c’est le célèbre acteur, Johnny Deep, qui a choisi de porter les chapeaux de la célèbre maison. 

Lexique de l'amoureux des chapeaux !




BOLIVAR : Mode créée vers 1820. Il tire son nom du chapeau haut de forme à larges bords que portait Simon Antonio Bolivar qui, entré à Bogota en juin 1819, en devint le président et le dictateur militaire. On en créa un chapeau évasé qui devint un "bolivar".

BORSALINO : Chapeau créé en 1857 par Guisepe Borsalino, de la maison Borsalino. C'est un chapeau de feutre qui fut très vite adopté par tous les élégants italiens.

CANOTIER : Chapeau à bords plats et étroits, le plus souvent en paille, qui fut adopté à la fin du siècle dernier par les adeptes du canotage. Coiffure masculine à l'origine, elle fut ensuite portée par les femmes.
 
CAPELINE : A l'origine chapeau de chasse féminin, c'est aujourd'hui une coiffe à larges bords, souvent en paille ou en matière légère.

CHARLOTTE : Coiffe d'intérieur qui recouvre entièrement la chevelure. Bordée de dentelle ou d'un volant, elle est réalisée dans des matériaux souples et légers (dentelle, tulle, ...).

FALUCHE : De velours noir, la faluche est le béret que portent les étudiants. Rarement portée de nos jours, elle était ornée de rubans ou d'insignes de couleur qui désignait la Faculté ou le Collège.

HENNIN : Coiffure en cône dont la pointe peut s'élever jusqu'à 60 cm et est ornée d'un long voile descendant dans le dos appelé flocard. En vogue au XVème siècle, le hennin, qui faisait partie des coiffures à cornes, a été condamné par l'Eglise.

MANTILLE : Fichu en dentelle, en tulle brodé ou en soie, de couleur noire en général, la mantille fut introduite en Espagne en 1721 par les dames d'honneur de l'infante.
 
MELON : Il est apparu pour la première fois sous le Second Empire. Chapeau masculin, en feutre rigide, rond et bombé, il est généralement de couleur noire. De couleur grise, il accompagne les tenues "habillées".

PANAMA : Chapeau de légende, le panama est fabriqué avec la feuille du latanier, arbre poussant dans les forêts de la république de Panama. Coiffe d'été en paille large et souple qui fut très en vogue au siècle dernier, elle prit le nom de panama en 1865.

Une brève histoire du chapeau

Voici une brève histoire du chapeau. Une analyse simple et claire de l'évolution des coiffes et autres folies portées tête haute ! 




Le Petit Larousse définit le chapeau comme une "Coiffure pouvant avoir des formes très variées, avec ou sans bord, que l'on met pour sortir." De même que le vêtement, le chapeau est né du besoin de se protéger des intempéries, pour se garer du soleil, comme de la pluie ou du froid. D'utilitaire, il est devenu un moyen de se parer. Il fut cependant peu utilisé du moins jusqu'au XIIè siècle.




Le chapeau, initialement fut pratiquement essentiellement une coiffure masculine. Dès le XIIIè siècle, on fabriquait des chapeaux en feutre pour homme. A cette époque, ne pouvaient être utilisés pour leur confection "que du feutre et de la soie de choix...". Les femmes portaient plus volontiers des bonnets, guimpes et voiles, ceux-ci étant indifféremment des coiffes portées à l'intérieur comme à l'extérieur de la maison.
Il y eut quelques exceptions, la femme ne portait le chapeau que pour aller à la chasse. Ce n'est qu'à partir de la fin du XVIIIè siècle, au moment où les femmes portèrent "le chapeau de bergère" pour les promenades, puis les "bonnets de passe".
Le XIXème siècle, voit l'explosion du chapeau en tant que coiffure féminine. Il fait alors l'objet de créations les plus délirantes. On le pare de fleurs, de plumes, de ruban, de fruits. De simple "bibi", il peut être un jardin, une coupe de fruits, un château... Suivant les saisons et les modes, il se porte très haut sur la tête ou au contraire il couvre la nuque. La coiffure masculine, pendant cette même période, s'assagit pour ne devenir qu'un "chapeau de bras". Il a délaissé ses ornements brillants et colorés d'avant le XVIIIè siècle qui ne seront conservés pour les coiffures militaires, ou plus généralement d'uniformes.

Car, comme un écusson sur un blazer ou même un drapeau, il peut être un signe distinctif d'une grande école, d'une administration, d'un régiment, voire d'une seule personne (ainsi le canotier de Maurice Chevalier). Pour la femme au siècle dernier, il est le symbole de la classe sociale et des bonnes convenances, seule l'ouvrière ose sortir dans la rue la tête découverte.

Mais la libération de la femme, sa participation de plus en plus grandissante à la vie active, lui seront fatales. Il sera abandonné, tout comme le corset. On le trouve encombrant, voire ridicule. Il n'est plus guère porté que l'hiver, retrouvant là sa vocation première : se protéger du froid, ou l'été et lors de cérémonies officielles, ou lors de mariages. Quoi qu'il en soit, la période qui s'étend de la fin du XVIIIème siècle à 1960 vit le triomphe de cet accessoire.

LE SAVIEZ-VOUS ? LE BERET BASQUE EST BEARNAIS !
Le béret basque est une coiffure spécifiquement pyrénéenne et plus exactement béarnaise. Au Moyen-Age les gens du Bigorre, de la Sioule et du Béarn portaient tous le béret, y compris le clergé. Mais si la région de Caussade, située au nord de Toulouse, compte de nombreuses fabriques de chapeaux, pour les bérets il faut aller plus au Sud, vers les Pyrénées, en pays béarnais. Le Béarn, en effet, et non le pays Basque, où les premiers touristes français de 1936 ont pu découvrir la fameuse coiffure en se rendant sur la côte, et l'ont ainsi identifiée à un usage typiquement local. Grands voyageurs s'expatriant même souvent, les Basques ont également été les premiers à faire connaître le béret dans le monde entier, l'élevant au rang de symbole national, au même titre que la baguette, le vin, les parfums, le général De Gaulle et la Tour Eiffel (dans le désordre).

Coiffure d'abord tricotée et portée par les bergers, l'industrialisation du béret commence dès le XIXè siècle. Les entreprises prospèrent, en nombre et en résultat, jusqu'aux années cinquante et soixante, comme pour le chapeau. Oloron-Sainte-Marie, petite ville située à une trentaine de kilomètres au sud de Pau, a pu accueillir jusqu'à quinze entreprises.

Chapeau à aigrette pour mariage et cérémonie

mercredi 29 avril 2009



La chapeau à aigrette est une invention des belles et élégantes portant chapeau du 18ème siècle. Cette plume élégante, travail de plumassier pour chapeau de mariage et à aigrette, vient terminer un couvre chef à la mode. Le chapeau à aigrette se porte moins, il est donc encore plus élégant de s'en affubler notamment comme chapeau de mariage.

En savoir plus sur l'histoire du chapeau à aigrette

L'élegance

mardi 21 avril 2009



Dans les années 1750, le chapeau est d'une telle importance dans la société qu'il fait l'objet d'un spectacle de music-hall par le mime français Tabarin. Il disposait d'un feutre à large bord et à calotte creuse, qu'il pliait et dépliait pour lui donner la forme des couvre-chefs à la mode en adaptant son expression au sens qu'il voulait donner au chapeau qu'il représentait. Ce spectacle disparut avec son auteur mais fut réactualisé vers 1870 par Monsieur Fusier au point que ce genre de spectacle prit le nom de chapeaugraphie (chapeau et chapeau de cérémonie) et devint très en vogue dans les années 1900.

Le chapeau de mariage est essentiel lors d'un cérémonie de mariage.

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